On comprend facilement Charles Aznavour, Vincent van Gogh, Dalida, Henri de Toulouse-Lautrec, Pablo Picasso d'y avoir habité.
C'est un endroit absolument charmant ou chaque rue nous fait littéralement penser à un décor de cinéma.
Nous avions convenu de prendre le métro cette fois car il n'était pas réaliste de marcher une telle distance. Opération facile qui nous a mené tout droit à la station d'Anvers.
De là, escalade des 222 marches qui nous mènent au pied de la basilique du Sacré-Coeur. Beaucoup plus lumineuse, et acceuillante que les autres lieus de culte visitées jusqu'à présent. Une toute autre philosophie en fait qui trahit bien son jeune âge (achevée en 1914).
Par la suite, visite de toutes les petites rues du secteur dont la place du Tertre où nous nous sommes rincé l'oeil de longues minutes avec les toiles des artistes qui s'y trouvaient. Pour tous les goûts et du talent à revendre.
Une journée encore très chaudes qui nous obligeait à de nombreuses pause. C'est lors d'une d'entre elle que mon oreille capta le son de l'instrument qui m'omnubile depuis le jour ou nous avions décidé d'effectuer ce voyage, un accordéon. Après ma course effrénée vers la source de ce son si cher à mes oreille, je fût quelque peu dérouté de constater, de nouveau, qu'il ne s'agissait pas de l'accordéoniste de mes rêves. Ou un cousin éloigné peut-être. Suis-je difficile ? J'ai quand même pris le temps d'apprécier son art mais, malgré mes requêtes pour entendre des airs français classiques, se dernier revenait immanquablement à des airs entrainants dignes d'une soirée bavaroise. Déception.
Mais où est-il ?
En tout cas, une bien belle journée dans la bonne humeur totale où nos yeux sont harcelés d'images que j'aimerais pouvoir faire revivre à volonté lors des longues journées d'hiver de mon quotidien québécois.
Et encore une fois, le lien de notre trajet avec une coupure causée par le trajet en métro qui empêchait de recevoir les signaux des satellites.
lundi 28 juillet 2008
C'est l'arrivée du tour (parte tou)
Lectorat exigeant ?
À la demande d'une lectrice dont je tairai le nom ici pour ne pas l'embarasser, je joint des clips qui témoignent, à la façon des frères lumières, d'une partie de notre journée d'hier.
Un extrait du petit moment passé dans le jardin des Tuileries où mes petiots ont pu batifoler avec de charmantes maquettes de voiliers.
Maintenant, les fanatiques du tour de France qui s'expriment puis 2 passage des courageux coureurs. L'un pris depuis un rempart du jardin des Tuileries qui donne sur le voie Georges Pompidou avec vue sur la Seine. Et le second passage est filmé depuis le coté sud de la voie Georges Pompidou.
Et finalement le frère de Charlie, pardon l'accordéonniste, que je cherche depuis mon arrivée ici. Très doué disais-je, qui nous interprète ici Scoubidou, un grand classique de ce cher Sacha Distel. Notez le solo d'accordéon à la fin qu'un fan un peu trop enthousiaste (OK c'est moi) a relevé de façon audible.
À la demande d'une lectrice dont je tairai le nom ici pour ne pas l'embarasser, je joint des clips qui témoignent, à la façon des frères lumières, d'une partie de notre journée d'hier.
Un extrait du petit moment passé dans le jardin des Tuileries où mes petiots ont pu batifoler avec de charmantes maquettes de voiliers.
Maintenant, les fanatiques du tour de France qui s'expriment puis 2 passage des courageux coureurs. L'un pris depuis un rempart du jardin des Tuileries qui donne sur le voie Georges Pompidou avec vue sur la Seine. Et le second passage est filmé depuis le coté sud de la voie Georges Pompidou.
Et finalement le frère de Charlie, pardon l'accordéonniste, que je cherche depuis mon arrivée ici. Très doué disais-je, qui nous interprète ici Scoubidou, un grand classique de ce cher Sacha Distel. Notez le solo d'accordéon à la fin qu'un fan un peu trop enthousiaste (OK c'est moi) a relevé de façon audible.
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